13/05/2017

CORÉEOGRAPHIE

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Vous allez dire que nous avons pris un abonnement chez les Chroniques du Grand jeu, mais jugez vous-mêmes…

 

CORÉEGRAPHIE

Observatus Geopoliticus – 9 mai 2017

 

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Mauvaise nouvelle pour l'empire... En Corée du Sud, Moon Jae-in vient d'être confortablement élu président après la destitution de la conservatrice et pro-US Park Geun-hye. Or, le nouvel occupant de la Maison bleue est moins favorable aux vues américaines que son prédécesseur :

Après presque 10 ans de règne conservateur, la victoire de Moon Jae-in pourrait signifier un changement considérable de politique vis-à-vis de Pyongyang, mais aussi de l'allié et protecteur américain. En effet, il prône le dialogue avec la Corée du Nord afin de désamorcer les tensions et de l'inciter à revenir à la table des négociations. Il veut aussi plus de distance entre Séoul et Washington. Le candidat conservateur Hong Joon-pyo l’avait notamment qualifié de « gauchiste pro-Pyongyang » durant la campagne.

Habitués à vivre avec la menace nord-coréenne, la question des programmes balistique et nucléaire de Pyongyang ne détermine pas le vote sud-coréen.

Pour aller un peu plus loin :

Classé plutôt à gauche, Moon Jae-in est né en pleine Guerre de Corée sur l'île de Geoje, dans le sud du pays, d'une famille pauvre de réfugiés, qui ont fui le Nord. Sa mère, raconte-t-il dans son autobiographie, vendait des œufs dans la ville portuaire de Busan avec son bébé, lui, accroché dans le dos.

Candidat, il a promis de réduire le pouvoir économique détenu par les conglomérats familiaux sud-coréens, les "chaebols", dont les relations troubles avec le pouvoir politique ont à nouveau été exposées par le scandale Park.

Mais ses détracteurs l'accusent de manquer de poigne à l'égard de Pyongyang, en pleine période de tensions relatives aux ambitions nucléaires du régime nord-coréen. L'avocat préconise en effet le dialogue et la réconciliation avec le Nord pour calmer la situation et ramener Pyongyang à la table des négociations. En décembre, il avait affirmé qu'une fois élu, il irait en Corée du Nord, avant de se rendre aux États-Unis, puissance protectrice du Sud.

Interrogé sur cet étonnant positionnement, il avait expliqué qu'il voulait dire que sa priorité était de faire retomber la tension avec son voisin. Il s'est en outre montré plus hostile au déploiement en Corée du Sud du bouclier américain antimissiles Thaad, qui provoque la colère de la Chine.

Dans un récent livre, le nouveau chef d'État écrivait que Séoul devait apprendre à dire "non" à Washington, plaidant pour des relations "plus justes et plus équilibrées" avec l’administration américaine.

C'est évidemment la question du THAAD qui cristallise toutes les interrogations. La société sud-coréenne y est majoritairement opposée (34% pour, 51% contre) et Séoul, même sous l'ancienne direction, refusait vaille que vaille de débourser le moindre won pour l'installation du système anti-missile.

Inquiets devant l'éventualité d'une victoire de Moon et d'un refus subséquent du THAAD, les Américains se sont dépêchés de débarquer l'équipement fin avril pour mettre le nouveau président devant le fait accompli, ce qui n'a trompé personne. De plus, Trump a dû ravaler sa fierté et accepter la prise en charge totale du coût de la batterie (1 milliard de $).

 

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Pourtant, nous ne sommes peut-être pas au bout de nos surprises :

L’équipe de campagne de Moon Jae-in, le candidat du parti démocratique libéral favori de la présidentielle, a immédiatement dénoncé cette installation imprévue, regrettant qu’elle ne prenne pas en compte l’avis du peuple. Selon Moon, le prochain président élu devrait être autorisé à prendre la décision finale sur le déploiement du THAAD après les élections du 9 mai.

Il est maintenant président et les prochains jours seront scrutés avec avidité, tant à Washington qu'à Pékin, Pyongyang ou Moscou. Car c'est de haute géostratégie qu'il s'agit ici, sur la case orientale de l'échiquier eurasien :

Nous sommes évidemment en plein Grand jeu, qui voit la tentative de containment du Heartland eurasien par la puissance maritime américaine (...) Il s'agit avant tout pour le Heartland de briser l'encerclement US et de s'ouvrir des routes vers le Rimland et vers l'océan, exactement comme la Russie le fait sur la partie ouest de l'échiquier avec ses pipelines et ses alliances de revers (...)

La guerre froide entre les deux Corées ou entre Pékin et Taïwan sont évidemment du pain béni pour Washington, prétexte au maintien des bases américaines dans la région (...)

Pour les États-Unis, le sud du Rimland semble définitivement perdu (entrée de l'Inde et du Pakistan dans l'OCS, fiasco afghan), le Moyen-Orient tangue sérieusement (Syrie, Iran, Irak maintenant, voire Yémen). Restent les deux extrémités occidentale (Europe) et orientale (mers de Chine) de l'échiquier où l'empire maritime s'arc-boute afin de ne pas lâcher. La bataille pour l'Europe (noyautage des institutions européennes, putsch ukrainien, manigances balkaniques vs pipelines russes, routes de la Soie chinoises, soutien moscovite à l'anti-système) est en cours. A des milliers de kilomètres de là, en Orient, un conflit jumeau s'annonce dont nous assistons actuellement aux prémices...

 

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Comme nous l'écrivions en février 2016 :

Washington utilise habilement un conflit ancien et réel (crise coréenne : 1er niveau) pour placer ses pions sur l'échiquier (Grand jeu : 2nd niveau). Des batteries THAAD sur le territoire sud-coréen, surveillant officiellement la Corée du nord et officieusement la Chine, seraient évidemment un coup porté à la dissuasion nucléaire chinoise. Il n'est guère étonnant dans ces conditions que Pékin proteste sérieusement et convoque l'ambassadeur de Corée du sud.

Dans ce contexte, l'élection de Moon risque de rebattre les cartes, dans des proportions qu'il est difficile de prévoir. Il est notoirement amical avec Pékin et, on l'a vu plus haut, très critique vis-à-vis de l'installation du bouclier US. Rééquilibrage des alliances, soumission à la pression américaine, ni-ni visant à plaire à tout le monde... tout est possible. Sans compter les coups d'éclat de Kim III qui ne manqueront pas d'advenir.

 

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Source : http://www.chroniquesdugrandjeu.com/2017/05/coreegraphie....

 

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« L’art de la guerre »

Le plan du Pentagone pour l’Europe

Manlio DinucciRéseau Voltaire 9 mai 2017

Traduction : Marie-Ange Patrizio

 

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En préparation de la visite du président Donald Trump en Europe —le 24 mai à Rome, le 25 au Sommet de l’Otan de Bruxelles, les 26-27 au G7 de Taormina— le Pentagone a présenté son plan stratégique pour le « théâtre européen ». Il l’a fait par la voix du général Curtis Scaparrotti qui, étant à la tête du Commandement européen des États-Unis, est automatiquement à la tête de l’Otan avec la charge de Commandant suprême allié en Europe. Au Sénat des États-Unis, le 2 mai, le général rappelle que « le théâtre européen reste d’une importance cruciale pour nos intérêts nationaux » et que « l’Otan nous donne un avantage unique sur nos adversaires ». Cet avantage se trouve cependant à présent mis en danger par « une Russie résurgente, qui essaie de miner l’ordre international sous conduite occidentale et de se réaffirmer comme puissance mondiale ».

Lire la suite…

Source : http://www.voltairenet.org/article196295.html

 

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Nous avons reçu ceci le 10 mai. Original daté du 5 avril. Ce n’est pas qu’ils sont lents au Saker francophone, mais il leur semble plus urgent de publier Brandon Smith que le Saker. Au point où on en était, on s’est dit qu’un jour de plus ou de moins… que tout vient à point à qui sait attendre… que les bons textes, comme le bon vin, s’améliorent en prenant de la bouteille, etc.

Car c’est un Saker des grands jours, dont le sentiment sur la question nous paraît très proche de celui de Günter Grass (v. Un roman allemand)

 

L’avenir de l’islam en  Europe occidentale

Par le Saker– Source The Saker –  5 avril 2017

Avec de superbes images au bout

 

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Avec les prochaines élections présidentielles en France, le thème de l’islam en Europe est revenu au centre du discours politique. Ce n’est pas nouveau : nous l’avons aussi vu au Royaume-Uni, en Hollande, en Autriche et même en Suisse, où les communautés musulmanes ont été interdites – par un référendum populaire – de construire des minarets (même si seulement quatre minarets existaient en Suisse avant ce référendum). Les tensions entre musulmans et non-musulmans sont clairement en augmentation, non seulement en raison de sentiments plus ou moins racistes ou anti-immigrés au sein de la population, mais aussi à cause du comportement souvent épouvantable de certains réfugiés issus de pays musulmans (agressions, viols, hooliganisme) et même de certaines communautés musulmanes en Europe (promotion du terrorisme, tentatives d’imposer la charia). Avant que la situation ne s’améliore (en supposant que ce soit le cas), elle va très probablement aller de pire en pire.

Donc quelles sont les options ici ?

Premièrement, approuvons les sages paroles d’Otto von Bismark selon lesquelles « la politique est l’art du possible ». Les Européens qui pensent qu’il suffira d’expulser tous les musulmans d’Europe ou d’en éliminer l’islam d’une manière ou d’une autre se trompent. De même, les (assez rares) musulmans qui veulent créer une sorte de Califat en Europe se trompent aussi. En fait, tous ceux qui proposent des « solutions » simples et directes à la crise actuelle seraient bien inspirés d’étudier un peu la dialectique hégélienne pour comprendre que l’issue de la crise ne sera pas le retour à un statu quo ante ou la création d’une réalité totalement nouvelle.

Deuxièmement, je soutiens que ni les immigrants musulmans ni l’islam lui-même ne quitteront jamais l’Europe : qu’on le veuille ou non, ils sont ici pour rester. Pourquoi ? Tout simplement parce que si certains groupes, comme les migrants illégaux, peuvent être expulsés d’un pays ou même du continent européen, d’autres, comme les musulmans de nationalités européennes ou les locaux/natifs convertis à l’islam ne sont pas expulsables : c’est impossible légalement et c’est impossible pratiquement (expulser où ? comment ?). J’ai personnellement travaillé dans des centres de réfugiés en Suisse (en tant que traducteur et interprète) et j’ai travaillé comme analyste pour l’état-major général suisse, où le problème des réfugiés était souvent primordial, et je peux vous assurer que quelqu’un qui sait vraiment comment le système fonctionne réalise aussi pleinement que la plupart de ces immigrants sont là pour rester, même les pseudo réfugiés politiques qui sont, en réalité, des migrants économiques et pas du tout des réfugiés politiques (à peu près 99% des soi-disant « réfugiés politiques »). Au mieux, l’Union européenne pourrait, en théorie et avec un immense effort, fermer ses frontières aux futurs immigrants. Peu probable, mais au moins possible. Mais les expulsions massives ne sont tout simplement pas une option.

Lire la suite…

Source : http://lesakerfrancophone.fr/lavenir-de-lislam-en-europe-...

 

Mais c’est quand même malheureux que les Teutons nous piquent tout et qu’Otto von Bismarck ait plagié sans vergogne Armand Jean du Plessis de Richelieu. Pire : sans que les Français s’en aperçoivent.

 

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Comme si on ne le savait pas !

Des Archives de l’Holocauste nazi récemment publiées par les Nations Unies montrent qu’il y a eu collusion entre les États-Unis, le Royaume-Uni et le Troisième Reich pour détruire l’Union soviétique

Alex Cristoforou – The Duran 5 mai 2017

Via Comité Valmy – 12 mai 2017

Traduction : Anna S.

 

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Washington et Londres ont été réticents à rendre public les dossiers des crimes de guerre de l'ONU.

Alors que la Journée de la Victoire (9 mai) approche en Russie pour commémorer la défaite de l'armée nazie d'Hitler, de nouvelles archives de la commission de crimes de guerre durant la Seconde Guerre mondiale des Nations Unies enquêtant sur l'Holocauste Nazi ont finalement été rendues publiques, au milieu de protestations américaines et britanniques. Pourquoi?

Les archives montrent une «accablante» collusion d'état entre les États-Unis, le Royaume-Uni et le Troisième Reich. L'objectif final de leur collusion n'était pas de mettre fin à l'Holocauste nazie, mais de vaincre l'Union soviétique.

Le parallèle entre l'histoire de la Seconde Guerre mondiale, telle qu’en témoigne la publication de l'archive, et la façon dont les États-Unis / UE et l'OTAN travaillent avec ISIS et l'Ukraine néo-nazie pour détruire la Russie, montre que plus les choses changent, plus elles restent les mêmes.

La Russie a été et sera toujours l'ennemi éternel de l'élite globaliste occidentale.

La guerre perpétuelle contre la Russie dans le contexte des « Archives historiques de l'Holocauste nazie » des Nations Unies est examinée dans un article de Finian Cunningham intitulé « Histoire profonde de la guerre froide sans fin des États-Unis et de la Grande-Bretagne contre la Russie » (The Deep History of US, Britain’s Never-Ending Cold War On Russia) publié par le magazine Stratégique en ligne sur la culture (www. Strategic-culture.org).

 

Le voici :

 

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Histoire profonde de la guerre froide sans fin des États-Unis et de la Grande-Bretagne contre la Russie

Finian Cunningham – Strategic Culture4 mai 2017

Via Comité Valmy – 12 mai 2017

Traduction : Anna S.

 

Avec des décennies de retard, les Nations Unies ont finalement publié des archives de la Commission de crimes de guerre de la Deuxième Guerre mondiale chargée d'enquêter sur l'Holocauste nazi. Les sources de ces archives sur les crimes de guerre nazis furent les gouvernements occidentaux, y compris ceux qui étaient en exil au moment de la guerre, comme le belge, le polonais et le tchécoslovaque.

La période couverte est 1943-1949. Washington et Londres ont longtemps cherché à en bloquer la publication. Pourquoi ?

Lire la suite…

Sources : http://theduran.com/newly-released-un-nazi-holocaust-arch...

Et : http://www.strategic-culture.org/news/2017/05/04/deep-his...

Via : http://www.comite-valmy.org/spip.php?article8569

 

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Mais nous savons que tout cela avait commencé bien plus tôt…

 

Suite à un Appel-Pétition, dont nous nous sommes faits l’écho dans notre post du 16 mars dernier et que revoici pour mémoire avec ses premiers signataires sur le site du PRCF, Alex Anfruns, pour Investig’action, a interviewé Madame Annie Lacroix-Riz qui en était l’initiatrice.

 

Casser l’histoire contribue efficacement à empêcher les nations de réfléchir sur leur présent

Alex Anfruns – Investig’action 11 mai 2017

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Au lendemain de la Seconde Guerre Mondiale, les Français étaient conscients du rôle joué par l’Union Soviétique dans la défaite de l’Allemagne nazie. Ensuite, au mépris du travail des historiens, il s’est développé un consensus consistant à mettre sur le même plan « les deux totalitarismes ». En 2017, à l’occasion du centenaire de la Révolution d’octobre, il semblerait même que le débat académique sur « Octobre 17 et ses suites » n’a plus de raison d’être… C’était sans compter avec les travaux de l’historienne Annie Lacroix-Riz, dont les ouvrages éclairent sa réelle importance, ainsi que les enjeux de la construction européenne dans le contexte de la guerre froide.

 

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Avec d’autres intellectuels, vous êtes signataire d’un appel « à débattre de manière sereine à propos d’Octobre 1917 et ses suites ». Quelle est son idée centrale ?

C’est comme historienne que je réponds à votre question. Nous avons voulu protester contre le bannissement de fait de toute appréhension scientifique de l’histoire de la Russie depuis son ère soviétique. Ses deux autres initiateurs, les philosophes marxistes Georges Gastaud et Jean Salem, ont aussi beaucoup à dire sur le sens de cet appel.

 

Comment surgit cette initiative ?

Le veto contre un débat serein sur « Octobre 1917 et ses suites » succède à deux étapes marquantes de la Croisade « occidentale ». La première, ce fut la célébration, en 1989, du bicentenaire de la révolution française, concomitante de l’effondrement de l’URSS. Sous l’égide du très atlantiste François Furet, elle eut pour but de criminaliser, non seulement la Grande Révolution de la bourgeoisie française, à fort appui populaire (que Furet accablait depuis au moins 1965, la transformant en aberration historique), mais aussi toutes les révolutions, et, au premier chef, celle d’Octobre, sur le thème : « Robespierre, Lénine, Staline » égal à « enfer de la Terreur et du Goulag »…

La deuxième étape frappa plus fort encore avec la publication du Livre noir du communisme, que Furet devait diriger mais que sa disparition prématurée remit à son héritier spirituel, Stéphane Courtois, passé depuis à l’extrême droite, et à Nicolas Werth, fils du journaliste britannique russophile Alexander Werth (auteur du célèbre ouvrage La Russie en guerre).

Il ne s’agissait pas d’une opération de vérité historique, mais d’une vaste manœuvre politique, coordonnée sur le plan international, pourvue d’un écho médiatique gigantesque. L’ouvrage, fatras dépourvu de tout caractère scientifique, bénéficia de cautions académiques, dont celle de l’Institut d’études politiques qui, depuis une trentaine d’années, règne sur les problématiques de l’histoire contemporaine.

 Lire la suite de l’interview

d’Annie LACROIX-RIZ

 

Source  http://www.investigaction.net/casser-lhistoire-contribue-...

 

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Hymne de l’URSS 1944

 


 

À partir de 1955 et de la politique de déstalinisation lancée par Khrouchtchev, l'hymne, qui louait Staline, était censé être exécuté sans paroles. Cependant, en l'absence de paroles de remplacement, les anciennes paroles de 1944 étaient encore souvent utilisées. Ceci jusqu'en 1977, où les paroles de l'hymne furent révisées par leur auteur, Sergueï Mikhalkov.

 

Paroles (version avant tripotages) …

L'Union indestructible des républiques libres
A été réunie pour toujours par la Grande Russie.
Que vive, fruit de la volonté des peuples,
L'unie, la puissante Union Soviétique !

Refrain

Sois glorieuse, notre libre Patrie,
Sûr rempart de l'amitié des peuples !
Étendard soviétique, étendard populaire,
Conduis-nous de victoire en victoire !

 

À travers les orages rayonnait le soleil de la liberté,
Et le grand Lénine a éclairé notre voie :
Staline nous a élevés — il nous a inspiré
la foi dans le peuple, l'effort et les exploits !


Refrain

 

Notre armée est sortie renforcée des combats
Nous libérerons notre pays de ses vils envahisseurs !
Nos batailles décideront de l'avenir du peuple,
Nous couvrirons notre pays de gloire !

Refrain

 

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12e tarte pour BHL

On dirait qu’il a adapté sa technique de réception.

 


 

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Beaucoup plus important !

 

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Roger WATERS sort un nouvel album

 

Le premier qu’il ait enregistré en solo depuis 25 ans et la sortie d'Amused to Death en 1992 :

« Is this the life we really want ? »

 

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Qui sort le 2 juin.

« Commentaire de l’artiste sur le monde moderne et les temps incertains », Is this the life we really want ? est produit et mixé par Nigel Godrich, qui a notamment travaillé avec Radiohead, Paul McCartney et U2, l'album contient des chansons aux titres évocateurs: « The Last Refugee » (« Le dernier réfugié »), « Broken Bones » (« Os brisés ») ou encore « Part of Me Died » (« Une partie de moi est morte »).

À 73 ans, Roger Waters retrouvera la scène dès le 26 mai à Kansas City (Missouri), première date d'une tournée nord-américaine qui prévoit une cinquantaine de rendez-vous, dont trois à Los Angeles (le 20, 21 et 27 juin) et deux à New York (le 11 et 12 septembre) pour se terminer le 28 octobre à Vancouver.

Roger Waters (chant, guitare acoustique, basse), Nigel Godrich (arrangements, montage, clavier, guitare), Gus Seyffert (basse, guitare, claviers), Jonathan Wilson (guitare, claviers), Joey Waronker (percussions), Roger Manning (claviers), Lee Pardini (claviers). Les autres parties vocales seront assurées par Lucius, Jessica Wolfe et Holly Proctor.

Les douze titres :

01. When We Were Young
02. Déjà Vu
03. The Last Refugee
04. Picture That
05. Broken Bones
06. Is This the Life We Really Want?
07. Bird in a Gale
08. The Most Beautiful Girl
09. Smell the Roses
10. Wait for Her
11. Oceans Apart
12. Part of Me Died

 

Un extrait :

 


 

Jetez-vous dessus ! En plus d’écouter de la vraie musique, vous l’aiderez à aider la Palestine.

 

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Mis en ligne le 13 mai 2017.

 

 

 

 

00:28 Écrit par Theroigne dans Actualité, Général, Loisirs, Musique, Web | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

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