05/04/2014

ANARCHIE - LA VRAIE ET LA FAUSSE

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ANARCHIE

La vraie et la fausse

 

Il y a longtemps que cela nous démangeait d’épingler les faux anars. Et les soi-disant communistes (qui, sortis du PRCF… bon, pas tout à la fois). Or, voilà qu’un article d’Investig’Action le fait à notre place. Nous relayons bien volontiers. Article à lire, à relire et à méditer, qui renvoie vers d’autres non moins importants, notamment ceux, sur des sujets identiques, du Grand Soir.

 

Faux antifascistes et Indymedia Paris soumis au détecteur de mensonges

4 avril 2014

Depuis quelques années nous avons vu fleurir de nombreux groupuscules se réclamant de la lutte antifasciste. Ces activistes sont-ils les dignes héritiers de l’antifascisme historique, celui issu de la coalition de partis de gauche à l’origine de la formation du Front populaire qui, sous l’occupation, résista à l’Allemagne nazie et au régime de la collaboration ? Mais s’agit-il de protestations de bonne foi ? Quelles sont leurs sources ? Leur raisonnement tient-il debout ? Qui se cache derrière ces pseudo « antifas » ?

Lire la suite…

 Source : http://www.michelcollon.info/Faux-antifascistes-et-Indymedia.html

 

Notre réaction :

Nous sommes à 100% d’accord avec ce que dit l’Observatoire du néoconservatisme, avec les exemples qu’il donne et les liens qui renforcent si besoin était sa démonstration.

Nous ne sommes pas d’accord avec sa chute : les corbeaux sont de nobles oiseaux, réputés les plus intelligents du monde, qui se nourrissent de cadavres parce que la Nature les a ainsi faits. Les humains qu’on leur compare ne mangent pas leurs victimes, ils les tuent et les souillent. Même pas des charognards. Autre chose. Le fait est qu’ils n’ont pas d’équivalent dans le règne animal. Les comparer à des cafards ou à des cloportes serait encore insulter ces insectes. Admettons-le : ils sont incomparables.

Et la chanson de Leo Ferré est un hommage (d’Arthur Rimbaud) aux oiseaux des champs de batailles, aussi beau qu’un corbeau en vol. La preuve :

 

Seigneur, quand froide est la prairie,
Quand dans les hameaux abattus,
Les longs angélus se sont tus
Sur la nature défleurie
Faites s´abattre des grands cieux
Les chers corbeaux délicieux {x2}

Armée étrange aux cris sévères,
Les vents froids attaquent vos nids!
Vous, le long des fleuves jaunis,
Sur les routes aux vieux calvaires,
Sur les fossés et sur les trous
Dispersez-vous, ralliez-vous! {x2}

Par milliers, sur les champs de France,
Où dorment des morts d´avant-hier,
Tournoyez, n´est-ce pas, l´hiver,
Pour que chaque passant repense!
Sois donc le crieur du devoir,
Ô notre funèbre oiseau noir! {x2}

Mais, saints du ciel, en haut du chêne,
Mât perdu dans le soir charmé,
Laissez les fauvettes de mai
Pour ceux qu´au fond du bois enchaîne,
Dans l´herbe d´où l´on ne peut fuir,
La défaite sans avenir. {x2
}

 

Les champs de batailles, c’est l’homme.

 

*

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Fauché au Grand SoirOn n’a pas pu résister

 

*

Mais où en est la vraie Anarchie ?

 

Nous avons découvert un site qui nous plaît bien. Avec des taches et des trous mais, bon, personne n’est parfait. Échantillons. Et matières à discussions.

3. Diktacratie bannière.png

(Encore faudrait-il que le peuple n’y renonce pas de lui-même.L.G.O.)

Nous y avons glané ce qui suit

4. Anarchie.jpg

L’anarchie est morte, vive la démocratie !

le 18 mars, 2014 dans Démocratie, Provoquer le débat par Cédric Bernelas

L’anarchie, aujourd’hui, c’est un folklore. Se réclamer d’un monde sans ordre revient presque à promouvoir un chaos digne des pires barbaries de notre Histoire. Pour tout dire, tous ceux qui, depuis quelques décennies, se revendiquent comme anarchistes, s’accaparent outrancièrement une fierté et un prestige plus proches de la mystification que de la vertu. Ils sont les idiots utiles à toute réelle entreprise révolutionnaire. En effet le pouvoir doit être avant tout remodelé, et ce de manière radicale, pour répondre aux besoins d’équité et de justice  de tous nos concitoyens. Il ne peut en aucun cas être supprimé. Nos grands militants du néant s’imaginent que la liberté et l’égalité ne peuvent se conjuguer que dans l’absolu et refusent donc toute l’immanence d’un relatif, d’un consensus ou d’un transitoire. Survivant entre discours et espoirs, ils imposent, tel un fascisme grossier, leur catéchisme noir sans même en tolérer le moindre corollaire.

L’anarchiste est désormais soit un petit bourgeois qui culpabilise, soit un désoeuvré qui jalouse un confort ou un luxe que la destinée lui a refusé. Son ressentiment est si aliénant qu’il spécule sur un monde sans riches n’entrevoyant trop rarement qu’un monde sans pauvres serait plus judicieux.

 Ni Dieu, ni Maître ?

 

Mais il y a mieux. Les voilà qu’ils tonnent « Ni Dieu, ni Maître ! » tout en jetant l’anathème sur le premier anti juif venu, ou en érigeant une chapelle de modèles libertaires.

D’ailleurs la liste est longue et sporadique. Certains vont jusqu’à Diogène le sinopard pour allumer la première mèche ! D’autres voient plutôt La Boétie, Meslier ou Varlet en précurseurs. Malgré tout, la majorité s’accorde sur un catalogue bien formaté, le genre que Guérin ou Maitron ont su mettre en référence : Stirner, Proudhon, Bakounine, Reclus, Grave, Blanqui, Kropotkine, Lermina, Zo d’Axa, Libertad, Voline, Malatesta, Pouget, Orwell…ou d’autres encore plus furieux : Netchaev, Ravachol, Bonnot, Makhno ou Durruti. Mais il suffit de jeter un raisonnable coup d’œil dans ces corpus pour déceler une belle série de confuses et flagrantes incohérences : quel point commun peut-on présenter entre un Stirner, ne sauvant que lui-même, et un Kropotkine, promoteur de l’entraide ? Comment Ravachol et Orwell peuvent-ils prétendre aux mêmes révolutions ? Y a-t-il un lien effectif entre le projet blanquiste et les crimes des en-dehors ?

Sans parler de tous ces plumitifs enragés qui ont préféré cracher leurs dogmes extravagants à défaut de charger un fusil, ou de tous ces scélérats au prestige historique plus que douteux qui face à l’impasse et l’absurdité de leur projet en sont venus à la bombe et au meurtre !

 

Étienne, Pierre-Joseph, Alphonse, Émile et les autres…

 

Et pourtant dans toute cette macédoine prétendument libertaire Diktacratie a su tirer quelques pépites.

Y a-t-il plus remarquable intelligence que celle de La Boétie pour délier les rouages de la servitude volontaire ?

Fédération, mutualisation, coopération, banque du peuple : a-t-on trouvé meilleures propositions que celles de Proudhon pour remédier au libéralisme tyrannique qui nous galvanise au point d’orchestrer aujourd’hui une mondialisation que peu combattent ?

A-t-on déjà vu une chèvre contredire un âne ? Ou qui mieux que Zo d’Axa a su offrir un rire à l’anarchie, là où les autres soumettaient larmes et terreurs pour convaincre de leur combat ? Un rire populaire, dérangeant et libre dont Dieudonné semble aujourd’hui le brillant héritier…

Par delà sa radicalité criminelle, Emile Henry nous a dicté son mythique « il n’y a pas d’innocents » devenu rapidement un axe dialectique et cardinal de notre réflexion sur la démocratie.

Et puis il y a Orwell. Mais le problème c’est que son originalité est telle, que beaucoup prétendent qu’il n’a rien à faire dans la confrérie des anars. Qu’importe ! Prenez un seul de ses romans et vous aurez plus d’impact libertaire que toute l’oeuvre d’un Jean Grave ou d’un Reclus !

D’ailleurs et de la même manière, au lieu de nous inhiber dans les lubies fantasmagoriques de nos résistants de papier, nous préférons apprendre des politesses armées d’un Spartacus, d’un Toussaint Louverture, d’un Zapata, d’un Sankara ou d’un Chavez. Se restreindre aux formules d’un seul parti, aussi libre et tolérant peut-il se prétendre, c’est refuser la réconciliation des différences et craindre alors la possibilité d’une vraie démocratie…

 

Le pouvoir au peuple

 

Alors que reste-il de tous ces feux d’anarchie quand on sait qu’ils se sont éteints dans les rayons bien ordonnés de nos bibliothèques en témoignant du même coup toute leur impuissance à changer foncièrement les choses ?

Hé bien, il subsiste quelques occurrences cruciales, qu’on ne doit pas laisser dans les archives de nos bons fonctionnaires toujours garants des pouvoirs en place… En effet quelques événements notoires fortement dépréciés nous démontrent qu’irrémédiablement la démocratie est encore possible et qu’elle demeure l’incarnation ultime d’un vivre ensemble égalitaire et souverain : les expériences russes et espagnoles au début du XXème siècle ne doivent plus passer à la trappe sous prétexte qu’elles seraient des digressions anarchistes. Ces moments où le peuple fut concrètement pourvu d’un pouvoir paritaire sans recourir à des représentants parasites ou corrompus ne devraient donc plus se borner aux annales de l’anarchie. D’ailleurs le mot « anarchie » discrédite ici encore une fois ce qu’il prétend promouvoir : la liberté et l’égalité de tous. Car ces idéaux doivent en effet s’ordonner pour s’incarner et non s’aboyer drapé de noir seul dans un coin.
Ainsi, l’autogestion fraternelle des makhnovistes en Ukraine, l’indépendance autonome de la masse laborieuse à Kronstadt ou le collectivisme des industries en Catalogne et des terres en Aragon ne sont-ils pas les plus éclatants exemples de la compétence du peuple à se gérer de la manière la plus légitime et adéquate qu’il soit ? Diktacratie reviendra en détail sur ces épisodes majeurs de notre Histoire.

Allez ! Pour finir, faisons quand même plaisir à nos petits anarchistes : imaginons que là, ce soir, ils prennent le pouvoir. Un coup de baguette magique, façon Bakounine, le genre révolution spontanée et instinctive, et voilà la France et le monde libérés !
La police ? En prison. L’armée ? En noire. Les banques ? Au peuple. La Bourse ? Supprimée. Les riches ? Au trou. Les médias ? Libres et instructifs. L’opinion ? Insoumise et indépendante. L’Empire ? La Cinquième Internationale. L’école ? Autogérée. J’en passe et des meilleurs…

Vous avez compris : laissons ces fantasmes aux arriérés libertaires, ils ne sont définitivement pas dangereux.

En revanche la révolution se fera en temps et en heure. Pour le moment nous n’y sommes ni prêts ni éduqués. Mais une chose est certaine : un pouvoir franchement égalitaire entre tous les hommes ne s’appelle pas anarchie, mais démocratie.

Ecrit par : Cédric Bernelas

Le site de cet auteur est http://www.diktacratie.com

Source : http://diktacratie.com/lanarchie-est-morte-vive-la-democratie/

 

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Parenthèse.

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Supposons que Lénine, au lieu de chausse-traper Makhno et de vider l’Ukraine de son armée de paysans anarchistes ait cultivé l’art du compromis entre frères d’armes… hein ?

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Supposons que ses successeurs, au lieu de faire le travail des franquistes à leur place, aient appris quelque chose des erreurs passées… hein ?

Où en serait le monde aujourd’hui ?

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Même site, et sans nécessité, rien que pour le plaisir (ah, la quenelle à Poutine !). Mais notre opinion : laissons Satan tranquille. Béchamel se suffit.

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Les pompiers pyromanes se moquent de la charité

le 29 mars, 2014 dans Les prohibés par Alain Fame-Hollignoble

Cruel, le sort assassine chaque embryon d’espoir auquel j’ai la faiblesse de donner vie.
Narquois, il pave ma route des petites dépouilles avortées et, aujourd’hui, m’amène à l’insupportable conviction selon laquelle la France, si tu l’aimes, tu la quittes.

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Source :  http://diktacratie.com/les-pompiers-pyromanes-se-moquent-...

Écrit par : Alain Fame-Hollignoble

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Charles De Gaulle, oui et non

le 06 février, 2014 dans Provoquer le débat par Romain Hajar

Le Général de Gaulle est une figure historique écrasante. Ce géant échoué sur Lilliput, cet homme à la fois glorifié et haï, suscite, 42 ans après sa disparition, toujours autant de controverses. Pour répondre à la demande de certains lecteurs, nous allons vous présenter quelques aspects distingués de De Gaulle et du gaullisme.

Même si le gaullisme est à l’honneur de la France, nous n’ignorons pas ses écueils et ses échecs. La grande aventure gaullienne avec ses récits et ses récifs : la tragédie des Harkis, le rapatriement douloureux d’un million de pieds-noirs dans une métropole peu accueillante, les réseaux troubles de Jacques Foccart, les barbouzeries, les méthodes de  financement du SAC, les mœurs françaises corsetées, une nouvelle Constitution aux accents quelque peu monarchiques.

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Source : http://diktacratie.com/charles-de-gaulle-oui-et-non/

Écrit par : Romain Hajar

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Il y a des rubriques intéressantes (dans la colonne à droite).

Par exemple celle-ci :

9. dimanche.png

Notre humble avis : Michel Onfray fait tache. Et l’absence d’Henri-David Thoreau fait trou. Celle de Marat fait scandale. Mais qui sommes-nous pour la ramener ?...

En voici une autre :

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Et là, on trouve ceci :

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Dieudonné : baromètre de notre liberté d’expression

le 08 janvier, 2014 dans illusion artistique et sportive, Les prohibés par Cédric Bernelas

Dans le premier pays consommateur d’antidépresseurs au monde, un maître d’armes dans l’humour noir courageux comme Dieudonné devrait faire œuvre de salubrité publique. Malheureusement l’impertinent métisse bantou-babtou jouit d’une réputation quelque peu diabolisée : pour certains il incarne l’axe du mal, pour d’autres la branche humoristique d’Al-Qaïda et… pour la totalité des pouvoirs en place un vecteur de Haine capable de nazifier l’âme innocente de nos jeunesses francophones.

Il faut dire qu’avec 3 planches, 2 crottes de nez, une assiette de quenelles, un ananas et un abricot chauds, notre irrévérencieux comique est doué pour préparer des plats explosifs !

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Source :  http://diktacratie.com/dieudonne-barometre-de-notre-liberte-dexpression/

Ecrit par : Cédric Bernelas

 

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On pourrait continuer, mais on n’a pas trop le temps.

Vous a-t-on donné envie d’y aller voir ?... de participer au débat d’idées ?...

 

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Ce qui suit, nous l'avons trouvé ailleurs - sur Agoravox - et si ce n'est pas gai, ce n'en est pas moins utile à savoir.

La troupe paramilitaire de l’Union européenne

Il existe en Europe une armée privée dont la fonction est de servir les objectifs de la Commission européenne. Elle se nomme EuroGendFor. Elle est située à Vicenza en Italie.
 Cette armée secrète ou unité d’intervention spéciale est composée de 3000 hommes. Police politique, judiciaire, armée et pourvue de services secrets, ses missions se réalisent en étroite coopération avec les armées européennes afin de garantir la « sécurité en territoires de crise européens ».

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En d'autres termes, faire cesser toute révolte populaire au sein des États membres de l’UE qui adhèrent à « EuroGendFor ».


Cette troupe paramilitaire a été fondée sans la moindre légitimité démocratique, en toute opacité, et chaque État peut faire appel à la FGE pour mater quelque crise que ce soit.


Le Traité de Velsen régit ses règles d'intervention.


Sa devise « Lex paciferat » indique la volonté d'imposer la paix par le droit. Mais lequel ?



La première version du blason de la FGE était composée d'une grenade au dessus d'une épée et entourée de 12 étoiles, adoptée par le CIMIN lors de la réunion du 12 septembre 2006 à Vicenza. Cet insigne est légèrement modifié en 2007 lorsque les États membres optent pour le retrait des 12 étoiles. Enfin en décembre 2009, lors de la réunion du CIMIN à Versailles, une version tactique d'un insigne «basse visibilité» est adoptée.


Cette structure militaire est née d’une initiative réunissant cinq États membres de la communauté européenne : la France, l’Italie, les Pays-Bas, le Portugal et l’Espagne, rejoints par la Roumanie en 2008, et finalisée par un Traité.


Elle a pour mission officielle d'«améliorer la capacité de gestion de crise dans les régions sensibles et de contribuer au développement d’une politique commune de défense et de sécurité.»


Traduire par : utiliser la force en fonction des intérêts de l'élite européiste.


Elle peut effectuer ses missions de police sur différents théâtres, zones déstabilisées, en support des actions de l’Union Européenne (UE), du traité de l’Atlantique Nord (OTAN), de l’Organisation des Nations Unies (ONU), de l’Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe (OSCE) et autres coalitions «ad hoc»... 
Le caractère très informel de ses missions laisse songeur.


Force « opérationnelle, pré-organisée, solide et rapidement projetable » contribuant à la Politique Commune de Sécurité et de Défense (CSDP), elle est en mesure d'être déployée hors des structures de l’Union Européenne.


Créée le 17 septembre 2004 à Noordwijk aux Pays-Bas, déclarée opérationnelle le 20 juin 2006, par un «Comité InterMInistériel de haut Niveau», sa première participation dans une opération de gestion de crise a pris pour nom l’opération EUFOR «ALTHEA» au service de l’Union Européenne en Bosnie Herzégovine.


En 2009, sous commandement OTAN, elle est intervenue en Afghanistan.

Elle a apporté son soutien à la mission des Nations Unies en Haïti après le tremblement de terre qui a ravagé ce pays, afin de «sécuriser les lieux».

Elle peut donc agir pour l’UE, l’OTAN et les Nations Unies. Sans le moindre mandat démocratique, sans le moindre assentiment populaire, sans la moindre consultation des peuples européens.

Ses forces peuvent être placées sous commandement militaire, dans le cas d’un conflit de haute intensité, ou civile et d’autre part, de manière autonome ou en coordination avec d’autres forces, mais lesquelles ?

Elle peut se substituer à des forces de police locale et donc nationale.

Cette force de police internationale peut être mandatée pour assurer les fonctions de police, et être investie de tous les pouvoirs de police, comportant le port des armes et les actions de répression directe.

Qui déterminera la carence de l’état de droit dans tel ou tel pays ?

Cette police internationale peut contrôler un territoire européen et s'imposer aux forces militaires nationales, si l'Union Européenne le décide.

Un conseil de guerre, via comité interministériel composé des ministres de la Défense et de la Sécurité des pays membres de l’UE détermine ses options d’intervention.

Selon l’article 4 de son Traité constitutif : « On peut recourir aux FGE pour protéger les personnes et les biens et maintenir l’ordre en cas de troubles publics. »

L'ex-territorialisation potentielle induite par cette force peut donc s'imposer à l'autorité d'un État souverain dans lequel cette force intervient.

Le Traité régissant cette puissance secrète a été contracté entre le Royaume d’Espagne, la République française, la République italienne, le Royaume des Pays-Bas et la République portugaise.

Elle peut surveiller, conseiller, encadrer et superviser les polices locales dans leur travail quotidien, surveiller l’espace public, régler la circulation, contrôler les frontières et effectuer des missions générales de renseignement ; effectuer des enquêtes criminelles, notamment découvrir des délits, retrouver les délinquants et les livrer aux autorités judiciaires compétentes ; protéger les personnes et les biens et maintenir l’ordre en cas de troubles publics.

Source : http://www.agoravox.fr/actualites/europe/article/la-troup...

Source d'origine : www.eurogendfor.eu

 

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Mémoire ? Nostalgie ? Les deux mongénéral.

 

Makhnovchina

 

 

Version Étienne Roda-Gil par Les Béruriers noirs

 

Romancero de Durruti par Chicho Sánchez Ferlosio

 

Loin des Sécessions...

Christy Moore : Viva la Quinta Brigada

(Chanson de marche des Irlandais)

 

 

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Avant-Première

 

Cette année, le célèbre vulcanologue Haroun Tazieff aurait eu 100 ans. À cette occasion, son fils, Frédéric Lavachery, lui consacre un livre qui sort ces jours-ci. Nous vous en reparlons la semaine prochaine.

 

13. Conférence Tazieff 7 avril.jpg

 

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Mis en ligne le 5 avril 2014.

 

 

 

 

 

21:44 Écrit par Theroigne dans Actualité, Général, Loisirs, Musique, Web | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

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