06/10/2016

UNE HISTOIRE DE CHEVAUX

1. Horses and men going in boat.jpg

 

Une histoire de chevaux

 

2. Przewalskis-mare and foal.jpg

 

Le cheval de Przewalski (Equus przewalskii) est une espèce très proche du cheval (Equus caballus). Il est caractérisé par un aspect massif, une grosse tête, de grands yeux, une forte encolure et une couleur de robe isabelle, qui rappellent les représentations de l'art préhistorique. Il mesure 1,30 m en moyenne au garrot.

Il a été découvert dans les années 1870, entre Ulan Bator et Karakol, par un officier du tsar, le général Nikolaï Przewalski.

Le cheval de Przewalski n’a jamais été domestiqué, mais a, en revanche été à tel point chassé pour peupler les zoos, qu’il a fini par disparaître dans la nature.

Depuis 1990 des efforts ont été entrepris pour en réintégrer dans la vie sauvage, notamment en Russie, en Chine et en Lozère.

Les jours derniers, des médecins russes pour animaux ont ainsi rendu à la nature un groupe de ces chevaux « réhabilités » par leurs soins. Le président Poutine a été invité à honorer la cérémonie de sa présence. On le voit ici participant activement à la mise en liberté du petit troupeau,  « briefé » par une vétérinaire si passionnée par son sujet qu’elle le dirige carrément par le bras, de crainte sans doute qu’il ne fasse quelque bêtise.

 

 

Le chat Motya a célébré l’événement par un poème de son cru. Que voilà. Traduit par Nikiforos Kristas.

 

3. MOTYA-POUTINE.gif

4. MOTYA - 2.JPG

« Son Altesse » ? « Sérénissime » ? Oui, vous avez bien lu. Et c’est de Vladimir Vladimirovitch qu’il parle, le chat.

Qu’en pense celui dont le grand-père fut l’assistant culinaire de Vladimir Ilitch ?

Si nous n’avons rien contre Joseph Vissarionovitch « Petit Père des Peuples », les descendants de régicides que nous sommes ont quand même un peu sursauté de voir un président élu au suffrage universel salué à l’instar d’un animal couronné. Par des militaires il est vrai…

Certes, on sait bien que dans les derniers siècles de Rome, les empereurs ont tous été faits (et défaits !) par les légions. Un des derniers à s’être vu ainsi hisser sur le pavois – par les Gaulois nos ancêtres en plus – ne fut-il pas Julien l’Apostat ? Et n’est-il pas allé mourir, celui-là, à Ctésiphon, capitale des Perses ? [Qu’allait-il faire dans cette galère d’ailleurs, et pourquoi n’est-il pas resté à Paris, hein ? Voilà où mène l’adulation des légions.]

Et « Ces rois devant qui l’Europe tremble et que nous avons chassés… » c’était pour des prunes, alors ? Il n’avait pas raison, Maximilien, de se méfier des militaires ?

« Bien sûr, s’insurge notre traducteur, avec notre mental carthésianisé et pascalisé et néolibéralisé, cela paraît soit ridicule, soit effroyable... Mais la Russie a été dirigée par des Tsars pendant combien de siècles, et les paysans les appelaient “notre batiouchka”... notre petit père... Et au vingtième siècle, Staline (dont je possède les écrits en douze volumes parus aux Éditions de Moscou. À mon avis, je dois être un des seuls orthodoxes au monde - hors de la Russie - à les posséder...), Staline donc, peut sans problème aucun être assimilé à un de ces tsars. Et il en va de même de Son Altesse. C'est en tous cas l'intention du Chat... Si nous voulons interagir de façon pertinente et sage avec les Russes, il est indispensable que nous nous efforcions de déposer nos schémas mentaux usuels et impérialistes et tenter de comprendre leur manière de penser, pour ensuite nous approprier celle-ci progressivement. Les faire entrer de force dans notre cadrage conceptuel est la véritable source de l'apparente impossibilité de communication... »

Eh ben, non, on n’est pas disposés à interagir avec les Russes de cette façon-là. Les mécréants que nous sommes aussi n’ont aucune envie de déposer leurs schémas mentaux, qui sont le contraire d’impérialistes, pour devenir serviles. Trop de Russes et de Soviétiques sont morts justement pour qu’il n’en soit rien. Et on n’a pas envie que les marins de Cronstadt viennent nous tirer la nuit par les pieds.

Staline a pu être assimilé – par les Occidentaux ! – à un tsar, mais que Nikiforos soit bien sûr que personne n’eût osé s’y risquer en sa présence.

Disons pour conclure qu’à nos yeux, Hugo Chavez et Vladimir Poutine resteront dans l’histoire des hommes pour avoir été les deux premiers militaires de carrière capables de gouverner en fonction des principes de la morale civile. Cela seul suffirait à assurer leur gloire. À part ça, le poème du chat est beau. Et comme la Russie ne doit pas manquer d’excellents psychiatres en état de calmer un peu d’hystérie chez les épaulettes, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles.

Que nous voilà loin de Hollande, Sarkozy, Le Pen e tutti quanti.

5. Chat GO Petit.GIF

Revenons à nos canassons.

Le traducteur de Mathieu le chat nous a expliqué qu’il avait eu quelque mal avec les rimes parce qu’en russe le mot cheval est du genre féminin.

Eh oui. Comme le mot navire en anglais…  et pour les mêmes raisons. Au risque de pédantiser, nous allons essayer de lui expliquer pourquoi.

La langue russe est née sur le territoire qui avait été celui des Amazones. Or, s’il faut en croire les auteurs (sérieux) de l’Antiquité, ce sont elles qui ont en premier apprivoisé et monté des chevaux. Pour elles donc, qui vivaient en matriarcat, un cheval ne pouvait être qu’une cavale, comme, pour les Angles et les Saxons, leurs descendants des bords de la Baltique, un navire ne pouvait être qu’une nef.

L’histoire de l’humanité, a dit M. Jacob Dell’Aqua (à propos, comment va-t-il ?), c’est « cent mille ans de matriarcat-dix mille ans de patriarcat ».

Mais c’est qu’il s’en est passé des choses, au long de ces cent mille ans…. Car tout a été, pendant cet énorme laps de temps, le fait des mères (ne pas confondre s’il vous plaît, avec les femmes). Elles ont tout inventé. Tout. Même la guerre, quand leur ordre a été attaqué manu militari par leurs fils en révolte. Nous l’avons peut-être déjà dit, dans ce cas répétons-le : les Amazones historiques ne sont rien d’autre que le dernier carré de l’ordre des mères, n’en déplaise à Mme Adrienne Mayor, savant auteur US, qui les confond avec les femmes guerrières des sociétés nomades patriarcales – scythes, parthes et autres – qui se sont illustrées bien des siècles plus tard, à peu près sur les mêmes territoires. Les Amazones n’étaient pas des nomades, puisque c’est au contraire au matriarcat que nous devons les premiers établissements d’humains sédentaires. Elles étaient réputées dans l’Antiquité pour avoir fondé et tenu des villes, inventé la fonte du fer, produit et exporté des vins réputés. Et elles ont fait la guerre quand elles y ont été forcées : pour se défendre et, tout à la fin, pour défendre leurs alliés menacés de conquête comme aujourd’hui la Syrie. Oui, l’histoire se répète. Espérons que, cette fois, elle la boucle.

 

6. cheval-grotte-lascaux.jpg

Elle est gravide et elle a 25.000 ans. (Lascaux)

 

Ces dernières championnes du pouvoir des mères ont vécu, avant d’aller se faire décimer à Troie, tout autour de la mer Noire et le long du fleuve qui portait naturellement le nom et le titre de leur déesse-mère : l’Amazone. Nom d’où les machos grecs allaient plus tard tirer la fable des seins coupés, en sollicitant son étymologie… dans leur langue. La lune, puisque c’est d’elle qu’il s’agit, s’appelle encore ainsi en arménien : Amaz. Et le suffixe « one », comme enna, une, inna, ona, ana, etc., a signifié longtemps, dans toutes les langues alors connues : « Mère », « Dame », « Reine »… et « Ânesse ». Car elles avaient apprivoisé les ânes bien longtemps avant les chevaux.

Leur grand fleuve s’est ensuite appelé, après la victoire du patriarcat, le Tanaïs – nom d’un mythique jeune homme qui aurait pu être Hippolyte, mais qui, au lieu de refuser les avances de Phèdre, en aurait fait à sa propre mère – nom qui d’ailleurs ne lui est pas resté, puisqu’il s’appelle aujourd’hui le Don… lequel est un autre des nombreux noms de la même déesse. Et sainte Anne n’est pas pour rien, non pas la mère mais la grand-mère du Christ : préséance oblige.

Restons-en là pour aujourd’hui. Et gageons que sainte Brigitte « maître des animaux » a été ravie d’apprendre l’émancipation des protégés de son  « Président de cœur ». Tchin-tchin.

______________________ 

* Adrienne Mayor, The Amazons : Lives and Legends of Warrior Women across the Ancient World. Princeton University Press – 2014 – 536 pages.

 

5. Chat GO Petit.GIF

 

Le contraire absolu de l’apprivoisement d’un cheval, c’est quoi ?

C’est ça :

7. Houston rodeo.jpeg

Qui ne se pratique pas sur des chevaux sauvages mais sur des chevaux torturés, la torture ayant pour but de les obliger à se débattre sinon où serait le fun ? Et ne se pratique d’ailleurs pas que sur des chevaux, mais aussi sur des taureaux (variante à la corrida) : 

8. Texan bull.jpeg

Et même, car il faut bien habituer la jeunesse à ses futurs exploits civilisés, sur des béliers :

 

9. Texan sheep.jpeg

Peut-on parler d’antipodes ?

 

5. Chat GO Petit.GIF

Nikolaï Przewalski

 

Presque oublié en Occident, Nikolaï Mikhailovitch Przewalski, né le 31 mars/12 avril 1839 à Kimborovo près de Smolensk, décédé le 20 octobre/1er novembre 1888 à Karakol, Kirghistan, fut un naturaliste, géographe et explorateur russe d’origine polonaise, qui servit dans les armées du tsar où il atteignit le grade de général. C’est au cours d’un de ses quatre voyages d’exploration en Asie Centrale, le long de l’ancienne Route de la Soie, qu’il rencontra le dernier cheval resté sauvage depuis la préhistoire et qu’il lui donna son nom.

 

10. Przewalski-Nicolai.jpeg

 

Un petit musée lui est consacré à Karakol, sur les rives du lac Issyk-Kul, où il est mort et où il a voulu être enterré plutôt qu’à Saint Pétersbourg où il vivait.

 

Deux de ses livres ont été publiés en français.

 

11. Voyage en Mongolie.jpg

 

 

 Voyage en Mongolie et au pays des Tangoutes (1870-1873) : Une expédition russe aux confins de l'Empire céleste

Éditions Transboréal – 2007

Jacqueline Ripart (édition scientifique)

317 pages

 

 

Résumé de l’éditeur :

Au retour d'un premier voyage en Sibérie dans la région de l'Amour et de l'Oussouri, Nikolaï Mikhaïlovitch Prjevalski (1839-1888), officier natif de Smolensk, émet l'idée d'une mission scientifique à travers la Mongolie et le Tibet, alors sous domination mandchoue. Soutenu par la Société russe de géographie, il se met en marche à la fin de l'année 1870. Depuis le lac Baïkal, il rallie Ourga, siège du Bouddha vivant des lamaïstes mongols, avant de rejoindre Pékin par la route du thé et d'entreprendre plusieurs expéditions à pied, à cheval et à dos de chameau : la première est conduite, malgré les tempêtes printanières, à la lisière orientale des vastes steppes mongoles ; les deux autres le mènent en amont du fleuve jaune et jusque sur le plateau tibétain. Dans un effort ultime, il trace sa route de retour en 1873 à travers le Gobi, le plus grand désert d'Asie. Déjouant les ruses mandchoues et la menace d'insurgés musulmans, le voyageur cartographie la région et constitue des collections naturalistes ; il décrit aussi, dans un récit savoureux, les mœurs et les institutions des éleveurs nomades dont il traverse les campements de yourtes. Patriote, il fait passer son devoir avant tout, endurant sans plainte les pénuries et les aléas climatiques. La recherche scientifique sert aussi les ambitions territoriales de la Russie impériale. La seconde moitié du XIXe siècle voit le réveil de l'intérêt du tsar pour l'Asie et l'apogée du Grand Jeu, la rivalité russo-britannique pour la possession du Turkestan. L'Empire céleste vacille, rongé par les dissensions internes et les attaques des puissances coloniales, qui lui arrachent le droit de commercer en ses frontières. De simple marche désertique de la Sibérie traversée par les caravanes de négociants de fourrures et de thé, la Mongolie devient le centre géographique de l'Asie et le seuil de la Chine.

 

12. PR. SUR LE TOIT DU MONDE.jpeg

 

  Sur le Toit du monde : Mongolie, Dzoungarie, Tibet. 1870-1880

Préface : Chantal Edel et Jean-Pierre Sicre

Paris, Phébus, 1991

Littérature étrangère

288 pages

 

Extrait :

« Plus le temps avance, plus il me semble que j'ai laissé dans les lointains déserts de l'Asie quelque chose de bien cher que l'Europe ne peut pas me rendre. C'est que là-bas pousse une herbe vraiment précieuse ; c’est la liberté, liberté sauvage en vérité, mais exempte d’entraves et presque absolue. Les fatigues, les périls, sont oubliés ou ne servent qu’à donner plus de relief aux moments de joie et de satisfaction intérieure. Aussi le voyageur passionné ne rêve-t-il plus qu’à ses aventures passées ; devant ses yeux défile sans cesse le panorama de cet heureux temps qui l’engage à substituer au confort de la vie civilisée les fatigues et les labeurs d’une existence vagabonde, mais pleine de liberté et de ravissement. »

 

Une biographie en anglais :

 13. Dream of Lhassa.jpg

Donald Rayfield

Dream of Lhasa : The Life of Nikolay Przhevalsky (1839-88 Explorer of Central Asia)

Ohio Univ Press - 1St Edition (June 1976)

221 pages

 

 

 

Et un très intéressant article en espagnol :

14. freccia nera piccola.GIF

 http://lalineadelhorizonte.com/revista/nikolai-przevalsky...

 

5. Chat GO Petit.GIF

Daech déclare la guerre aux chats

Motya, planque-toi !

 

15. Daech contre les chats.jpg

 

Le groupe terroriste Daech a lancé une terrible chasse aux félins suite à la publication d’une fatwa interdisant d’avoir des chats chez soi.

Les habitants de la ville iranienne de Mossoul sont les témoins d'une véritable chasse aux chats. Les terroristes de Daech ont décidé de s'en prendre à nos amis poilus, la direction du groupe extrémiste ayant émis une fatwa interdisant aux chats de vivre dans des maisons.

Dorénavant, des terroristes font le tour des logements afin d'en chasser les félins. Pourtant, les membres de Daech avaient auparavant témoigné de la sympathie envers les chats et se prenaient même en photo avec les animaux à des fins de propagande. Changement de programme.

Source : https://fr.sputniknews.com/societe/201610051028055426-cha...

 

5. Chat GO Petit.GIF

Notre homme de l’année !

Et peu importe qu’on ne soit qu’en octobre.

14. freccia nera piccola.GIF

Mohammad Alaa Jaleel

 

16. Mohammad et les chats.jpg

 

En Syrie, les atrocités du conflit ont profondément bouleversé non seulement la vie des humains, mais également celle de tous les animaux domestiques, en particulier les chiens et les chats.

Ignorant tout de la fatwa en cours ou s’en fichant éperdument, Mohammad Alaaz Jaleel, habitant d’Alep, a créé, en 2011, une espèce de sanctuaire où vivent ensemble, sous sa protection, les chats errants dans les ruines et ceux abandonnés par leurs maîtres en fuite.

 

 

« Certaines personnes m’ont laissé leurs animaux, parce qu'elles savaient que je les aime. Tous les chats errants d'Alep et ceux abandonnés par leurs maîtres sont accueillis ici,

17. Les chats et Mohammad.png

 

D’une trentaine en 2011, les protégés de Mohammad sont maintenant une centaine, qui doivent être soignés quand ils sont mal en point et pour lesquels il lui faut, jour après jour, parer au ravitaillement. Où il trouve le temps, l’énergie et les sous ? Mystère.

 

18.  Chats Mohammad 2.jpg

 

« Un jour, une petite fille m'a apporté un chat. Ses parents voulaient partir à l'étranger. Ils sont venus me trouver, parce qu’on leur avait dit qu'il y avait ici un sanctuaire pour les chats. La petite me l’a donné alors qu’il n’était qu’un chaton. Elle pleurait tout ce qu’elle savait de devoir le quitter. J’ai fait des photos de son chat et je les lui ai envoyées en Turquie ».

 

19. Chats Mohammad 3.jpg

 

Beaucoup de gens qu’il connaît ont fui la guerre, mais Mohammad n’a pas pu se résoudre à partir en laissant toutes ces vies en arrière. C’est ce qui lui a valu le surnom  d’« homme aux chats d’Alep ».

Paul Léautaud doit se trémousser d’aise dans sa tombe.

Source vidéo et photos :  https ://fr.sputniknews.com/societe/2016092810279678...

 

Bientôt, les protégés civilisés de Mme l’ambassadrice des USA à l’ONU vont venir écrabouiller comme ils le méritent ce barbare et ses greffiers. S’ils n’en viennent pas à bout, on enverra des avions.

5. Chat GO Petit.GIF

Vous allez dire qu’on râle sur tout…

 

Mais on ne peut pas laisser passer ça.

Sur l’excellent site de Ziad Fadel, où on suit, presque heure par heure, la bataille d’Alep, un des commentateurs (Balordo), justement indigné par les jappements de la troisième mégère de l’Apocalypse, s’écrie : « … read what he has to say for that ugly disgusting scrawny irish hag ». Hag et scrawny assurément, et disgusting, mais pas irish. La dame est zunienne, Mrs. Cass Sunstein pour les intimes, c’est-à-dire sioniste en plus.

L’Irlande, pour nous, c’est, jusqu’à preuve du contraire, Bernadette Devlin; et c’est sa fille Róisín McAliskey, qui a accouché de son premier enfant enchaînée aux mains et aux pieds dans une prison anglaise. Devlin, que nous avons vue manifester, poing levé, avec Bobby Seale, pour la Palestine. Non, vous ne trouverez pas la photo sur Internet, elle n’y est pas. Plus.

On en profite pour les saluer de loin. C’est peu de dire qu’on manque terriblement de femmes comme elles.

 

20. trèfle.gif

 

 

Mis en ligne le 6 octobre 2016.

 




 

 

17:12 Écrit par Theroigne dans Actualité, Général, Loisirs, Web | Lien permanent | Commentaires (1) |  Facebook |

Commentaires

Bien sûr qu'il y a des chevaux de prewjudygfvncski en Lozère, où j'habite.

A en croire la revue d'information du département, et celle du Parc national des Cévennes, cela fait aussi venir les touristes, c'est bon pour le PIB français et la population locale. Wouawww.

D'une pierre deux coups; bonne chance aux équidés (ainsi qu'aux autres de tous poils).

Et chapeau à Mohammad Alaa Jaleel, d'Alep, qui oeuvre sans département et sans Parc National, contre, avec et sans Poutine, Daech ou les Américains selon le point de vue où on se place. En situation de guerre - mais souvenez-vous aussi de tous ces chats et chiens domestiques massacrés par des "terminators", à Tchernobyl, après l'évacuation des humains, sans que notre belle Europe lève un petit doigt, trop préoccupée de voir où allait s'arrêter le nuage radioactif, puis de vérifier l'incidence consécutive des cancers.

Je n'ai pas trouvé le mot "zunien" dans le dictionnaire - c'est un terme pour "happy" few - oui, Theroigne, je sais ce que ça veut dire! Pour exprimer le mépris, la désapprobation, ou la haine, même politique, même à échelle apocalyptique, il y a des mots français, que Robespierre aurait trouvés, tu n'as qu'à chercher. Cette personne est donc nord-américaine, porte un nom juif (Sunstein), est probablement sioniste, peut-être d'origine irlandaise, et est une authentique salope, là, d'accord! S'il y a plus à dire, il faut le dire; ce serait donc à vérifier, mais j'ai peut-être zappé un épisode. Il faut étayer les affirmations. Parfois c'est tuant de lire des textes "emportés".

En fait, je m'appelle "Coolstein", suis-je "sioniste en plus"?

Écrit par : devine! | 06/10/2016

Les commentaires sont fermés.